18 mai 2010

Maeva POLYNESIE FRANCAISE

MAEVA, Bienvenu en parlé local ! Ici aux Gambier, ce mot a une signification profonde.
Qu’il arrive par avion ou par bateau, qu’il soit Polynésien ou Popa’a (étranger), le voyageur est toujours le bienvenu.
Dès son arrivée, comme ici à la descente de la navette qui relie Totegegie, le motu de l’aéroport, à Rikitea, le voyageur est attendu avec le traditionnel collier de fleurs.





Le tutoiement spontané, met tout de suite à l’aise et nous aussi, nous avons été gâtés, dès notre arrivée à Akamaru, par Pauline la Vahiné et son « tané » (son compagnon), qui nous ont offert spontanément, papayes, citrons, pamplemousses et concombres du jardin.


Nous avons été reçus comme des princes par Denise et Edouard à Taravai, chez lesquels nous avons dégusté un délicieux canard élevé à la papaye, du CANARD après trois semaines de poisson c’est MAEVA aussi!
Edouard nous a raconté les histoires d’un polynésien des Gambier. Comment lorsqu’il était un tout petit garçon, son grand-père lui a appris à ne pas craindre les requins du lagon et comment il lui a appris à plonger de plus en plus profondément, jusqu’à 30 mètres tout de même, avec une pierre au bout d’une ficelle …




Et aussi, Marie-Noëlle, Manuya et Bernard (petit-fils de roi), de l’île Aukena, qui nous ont fait découvrir leur plantation de citronniers et qui ont accommodé pour nous le délicieux « corori », le muscle qui relie les deux valves de la nacre (huître perlière).


Irénéo, également, qui dans sa ferme perlière nous a initiés à la surgreffe (surgreffer c’est retirer la perle déjà produite et reposer un nouveau nucléus dans la matrice de la nacre, pour produire une perle encore plus grosse).




Et aussi les fêtes locales auxquelles nous nous joignons avec un grand plaisir.




Et tous ces rencontres dans un esprit d’ouverture, au hasard du destin … Meirihia chante MAEVA

01 mai 2010

Les Gambier POLYNESIE FRANCAISE

Très jolie carte de l’archipel des Gambier sur ce tee-shirt.
Ce losange à l’extérieur comme une immense raie manta, c’est la barrière corallienne, à l’intérieur les îles au noms exotiques : Mangareva, Aukena, Akamaru, Meikiro, Taravai, Agakauitai …


Un incident non prévu au programme, me permit de voir la barrière de corail comme ceci

Arrivés des Galapagos par la passe de l’Est, nous avons foulé pour la première fois le sol de l’archipel à Akamaru




Une puissante odeur sucrée, c’est le parfum de la fleur emblématique de Polynésie : le tiare



Après Akamaru, voilà Mangareva vue ici depuis son point culminant le Mont Duff.


En bas le village de Rikitea qui borde la baie où viennent mouiller les bateaux « tourdumondistes », pas si nombreux que ça à venir jusque ici. A droite de la flèche : STEEL-BAND.

La passe d’entrée de Rikitea, à ne pas rater ! Les fermes perlières sur pilotis sont nombreuses.



Dans l’archipel, chaque île est différente, les paysages remarquables.
Voici Agakauitai

Taravai







Vraiment, ces îles sont les plus belles que nous ayons vu jusqu’à présent.

Je m"appelle STEEL BAND et je suis

Ma photo
J'ai 43 pieds, c'est pratique pour voyager, je suis épris de liberté. Avec mon capitaine, je peux vous emmener au bout du monde.