Nous les « vahiné » (vous l’aurez compris : les femmes), nous étudions aussi les coutumes locales d’un peu plus près. Nous nous essayons au tamouré.
JOURNAL DE BORD
-
►
2011
(14)
- ► décembre 2011 (2)
- ► novembre 2011 (1)
- ► octobre 2011 (1)
- ► septembre 2011 (2)
- ► juillet 2011 (1)
- ► avril 2011 (1)
- ► février 2011 (1)
- ► janvier 2011 (1)
-
▼
2010
(21)
- ► décembre 2010 (1)
- ► novembre 2010 (1)
- ► octobre 2010 (1)
- ► février 2010 (1)
- ► janvier 2010 (2)
-
►
2009
(14)
- ► décembre 2009 (2)
- ► novembre 2009 (2)
- ► avril 2009 (1)
- ► février 2009 (3)
- ► janvier 2009 (2)
-
►
2008
(15)
- ► décembre 2008 (2)
- ► novembre 2008 (2)
- ► avril 2008 (2)
- ► février 2008 (2)
- ► janvier 2008 (2)
-
►
2007
(29)
- ► décembre 2007 (3)
- ► novembre 2007 (2)
- ► juillet 2007 (2)
- ► avril 2007 (4)
- ► février 2007 (1)
18 septembre 2010
Tamoure POLYNESIE FRANCAISE
15 septembre 2010
Vélos et va'a POLYNESIE FRANCAISE
Pascal et moi avons nos VTT à bord et un polynésien fort sympathique prête des vélos « polynésiens » à Martine et Michel. Une petite précision : pas de frein sur un vélo local, il faut rétropédaler pour freiner ! Rigolades !
Nous suivons d’abord la seule route goudronnée qui fait le tour de l’île, c’est plutôt sympa, elle est plate.
Ensuite nous cherchons la piste qui traverse la montagne, pas évident, il n'y a aucun panneau indicateur, des locaux nous expliquent, tant bien que mal nous trouvons et commençons la montée ... Sur terrain de moins en moins sec !
Nous profitons des magnifiques points de vue sur le lagon.
Un arrêt pour déguster noix de coco et papaye, au milieu d’une végétation dense …
Après la découverte de la montagne, nous revenons au lagon et nos "tané" (nos hommes), s'initient au Va'a, la pirogue polynésienne à balancier. La fibre de verre a remplacé le bois, mais la technique d'utilisation est restée la même. L’apprentissage nécessite un coach local car la stabilité de l’engin est … Affaire de connaisseur !
Nous avons souvent vu les polynésiens rejoindre en va’a le sillage du cata. Ils testent ainsi leur dextérité à rester équilibré le nez du va’a dans la vague provoquée par notre passage et leur aptitude à suivre le cata (jusqu’à 6 nœuds tout de même), lassés du jeu, nous en avons vu certains nous doubler !!!
Je m"appelle STEEL BAND et je suis
- Un beau voilier catamaran blanc
- J'ai 43 pieds, c'est pratique pour voyager, je suis épris de liberté. Avec mon capitaine, je peux vous emmener au bout du monde.