26 février 2009

Cuba Kite CUBA

On a vu arriver sur Steel-Band qui attendait comme convenu à Cienfuegos (Cuba) :



LE MATOS (pas du matos de Mickey)



L’EQUIPE (pas des Mickeys)
Le moniteur pro c’est Bertrand, au milieu à droite sur le zodiac.



Erwan et Arthur, le même Arthur et Vincent dit Vïnce.



Le site, ça c’est le Capitaine qui s’en occupe, du garanti sur mesure, suivant les désirs de Bertrand.
de l’eau, mais pas trop profonde, du sable mais bien net, pas de corail, du vent, même qu’il en faut pas mal
et de L ’ E S P A C E ….



La technique est ultra complexe, ça à l’air simple, il ne faut pas s’y fier, ça ne l’est pas !
Les premières leçons à terre permettent de piloter l’aile comme on le souhaite et pas comme « aile » veut !






Le soir cours en image sur l’ordi portable, pour préparer la journée du lendemain, le cours est soigneusement élaboré, une étape après l’autre et dans l’ordre !




Du repos … On dirait plutôt un coma



Pascal propose une alternative : la pêche !



Il ne faut pas se laisser aller !
« On n’a pas des appétits de Mickeys »
Les repas : sucre lent, sucre rapide, des LANGOUSTES et du rhum






Le lendemain, on remet ça, les Mickeys ont des rites bien à eux …



Mais visiblement ça marche ! Le capitaine a essayé aussi, commentaire : « Pas simple et violent! »







Quant à Bertrand, "aile" lui obéit ...



20 février 2009

La vie au quotidien CUBA

En se promenant dans les quartiers non touristiques de Trinidad, au contact direct des cubains, les surprises ne manquent pas !




Même démuni, le Cubain est fier, chaleureux et généreux.



Il opère des prouesses d’ingéniosité comme par exemple continuer à faire rouler les vieilles guimbardes américaines de 50 ans et plus comme cette Chevrolet. Quand on leur pose la question des pièces détachées, ils répondent : « Hay que inventar les ! » (il n’y a qu’à les inventer !)



L’état pourvoit aux besoins, mais sans aucune fantaisie : chaque famille à droit, chaque mois, à un nombre restreint de denrées, en fonction du nombre de personnes et des âges.
Dans les magasins d’état, les prix sont dérisoires, par exemple : le riz (arroz) coûte 0,25 pesos la livre, soit 1 centime d’euro ! Chaque personne a droit à 5 livres par mois sur présentation des tickets de rationnement.




Mais si l’envie prend à la mère de famille d’acheter des petits gâteaux pour ses enfants, il faut aller dans un super-marché et payer en CUC, (pesos convertible), c’est le magasin et la monnaie des touristes. Le CUC vaut 25 pesos, et le paquet de gateau 1 CUC, alors avec 400 pesos de salaire moyen mensuel, c’est impossible sans combines avec les touristes.
Si malgré tout elle tente le coup, elle a le choix entre « Chocottone » et « Chocottone ». Sympa non !



Ici le passé est toujours présent. Les Etats-Unis n’ont pas relâché leur embargo.




Alors il reste la convivialité, comme dans ce « Circulo Social Obrero » (Centre Social des ouvriers), où le barman sert le « ron » (rhum).






Et la musique qui est présente partout et tout le temps.




Et quand on écoute de la bonne musique, on danse.



Alors on se laisse emporter par le charme.



On arrose le début de la soirée d’un Mojito.
Et plus tard après le repas simple préparé par un couple de cubain désireux d’arrondir les fins de mois, clandestinement,




On parle de la vraie vie à Cuba.

10 février 2009

La mer CUBA

Jusqu’à présent niveau langoustes, nous n’avions pas rempli notre contrat (en manger tous les jours) !
Tous nos espoirs étaient reportés sur Cuba …
Dès notre arrivée à Los Jardines de la Reina (les Jardins de la Reine), pascal a sauté à l’eau et pris le taureau, enfin la langouste, par les cornes …


Enfin un régime normal et qui plaît !




Nous avons même parfait nos connaissances, grâce à la venue à couple d’un bateau de pêche exclusive au lambi, ce savoureux coquillage, dont la pêche est strictement réglementée partout dans le monde, voire en principe, interdite aux Antilles et au Venezuela.




Les pêcheurs nous montrent comment sortir le gros mollusque de sa conche, comment en éliminer les parties non comestibles, et nous expliquent comment le nettoyer et le cuisiner.
Travaux pratiques immédiats, nous nous régalons.



D’autres pêcheurs nous apportent des petites langoustes grillées en signe de bienvenue, et nous parlent de leur métier : ils sont payés 120 dollars la tonne de langouste, qu’ils attrapent à la main, incroyable !!

Comme promenade digestive, rien de tel qu’une virée dans les coraux, pour profiter de l’exceptionnelle transparence de l’eau, et admirer les coraux très diversifiés où abondent toutes sortes de poissons, qui très peu pêchés ne fuient pas à notre approche. Mérous, balistes, pagres, raies, barracudas, etc…





Et pendant ce temps-là, notre pêcheur personnel, est reparti au « taf » … Enfin faire les courses quoi !
« Qu’est-ce qu’on mange ce soir ? »

Je m"appelle STEEL BAND et je suis

Ma photo
J'ai 43 pieds, c'est pratique pour voyager, je suis épris de liberté. Avec mon capitaine, je peux vous emmener au bout du monde.